Trop, c’est trop !
Le cœur a dénoué ses barbelés
Les digues de la raison ont sauté
Le regard a baissé son rideau de fer
Les lâches se déchaînent, se lâchent
Crocs de feu sur proie providentielle
Croqueurs de nègre sur Michel Zecler
Carnage pour jouir de sa surpuissance
Haut le cœur devant le festin de la bête
(Texte de Mariama Samba Baldé)
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